Un article du journal français Libération, à propos de la montée de l’extrême-droite néo-nazie et des crimes racistes en Grèce.
Un article du journal français Libération, à propos de la montée de l'extrême-droite néo-nazie et des crimes racistes en Grèce.
Où l'on constate que l'Union
européenne, après avoir imposé austérité et désespoir, laisse faire les
mafieux fascistes en Grèce afin qu'ils intimident la société civile et
le jeu démocratique, comme Hitler dans les années 1930.
L'Union européenne et les institutions internationales sont en flagrant délit de "non-assistance à peuple en danger".
Mais il est vrai qu'il serait
tentant pour nos élites financières de tester in vivo un chaos grec,
après avoir apprécié les chaos somalien, irakien, congolais, colombien,
afghan, tchétchène, caucasien, lybien, syrien, etc, et l'expérience
fondatrice de la dislocation raciste de l'ex-Yougoslavie (et avant de
tester prochainement un chaos espagnol, italien ou français).