"(...) Christos Chryssopoulos construit avec Athènes-Disjonction un
dispositif mettant en regard photographies prises dans la capitale
grecque et textes où l'on peut sentir les présences de Charles Baudelaire
(« Le Cygne », Les petits poèmes en prose), Julien Gracq (La forme d’une ville) et Georges Pérec (Tentative d’épuisement d’un lieu)".
Christos Chryssopoulos, Athènes-Disjonction, traduit du grec par Anne-Laure Brisac, éditions Signes et Balises, 2016, 98 pages
https://fabienribery.wordpress.com/2016/09/12/athenes-une-oscillation-permanente-par-christos-chryssopoulos-1/